Le moucharabieh, prisonnier entre l’orient et l’occident

Publié par Bertrand Ehrhart18 octobre 2024

Image en Une Intérieur d’un harem, Léon Auguste Adolphe Belly, 1865

À travers l’analyse détaillée du moucharabieh dans l’architecture et dans l’imaginaire colonial, il est question, dans un premier temps de mettre en avant la perception de l’esthétique orientale en tant que symbole d’exotisme. Puis, de traiter la réappropriation orientale, symbole d’adaptation et résistance. Enfin, l’objectif est de mettre en avant les divergences et la complexité des interactions entre les deux cultures architecturales.

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